Le 17 mars 2025, la Synergie des Élèves et Étudiants du Togo (SEET) a exprimé son indignation face à l’exclusion définitive de 43 élèves, accusés d’être responsables de grossesses précoces. L’organisation considère cette sanction excessive et injuste, et appelle à la mise en place de solutions éducatives adaptées.
Une sanction jugée excessive Dans un communiqué publié le 15 mars, la SEET critique l’absence de distinction entre violences sexuelles et relations consenties dans la décision d’exclusion, affirmant que cela prive ces élèves de leur droit à l’éducation. L’organisation dénonce également le manque de transparence dans la procédure, en soulignant qu’aucun mécanisme de recours n’a été précisé.
Pour des solutions éducatives alternatives La SEET plaide pour des sanctions éducatives telles que la mise en place de cellules d’écoute et de sensibilisation. L’organisation appelle à une réforme de l’éducation sexuelle et insiste sur la nécessité d’accompagner les élèves concernées, afin que l’école reste un lieu d’apprentissage et non d’exclusion.
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