« Le s*xe anal est un crime au Nigeria », prévient une avocate

"Le s*xe anal est un crime au Nigeria", prévient une avocate

Dans un message franc et sans filtre publié sur Facebook, l’avocate nigériane Stella a lâché une bombe de vérité qui en a fait trembler plus d’un. Elle a rappelé sans détour que les relations sexuelles anales au Nigeria constituent une infraction pénale passible d’une longue peine d’emprisonnement.

Stella n’a pas mâché ses mots en soulignant les ramifications juridiques de cette activité particulière dans la chambre à coucher. Selon elle, en vertu de la loi nigériane, le sexe anal peut vous conduire en prison pour plus d’une décennie. « Le sexe anal est un crime au Nigeria« , a-t-elle déclaré avec insistance, citant l’article 214 du code pénal qui traite des « délits contre nature ». Cet article précise que le fait de se livrer à des activités sexuelles « contre l’ordre de la nature » est passible d’une peine pouvant aller jusqu’à 14 ans de prison.

La publication sur Facebook à propos du s*xe anal

Le lundi 17 juin, Stella s’est rendue sur Facebook pour sensibiliser le public à cet aspect souvent négligé de la loi nigériane. Son message était un mélange d’anglais et de pidgin nigérian, ce qui lui a permis d’être accessible à un large public. « Maka ndi baby, Je veux le mettre dans ton an*s. Puisque tu mets Na en prison, tu veux le faire. Fais-le de la bonne manière« , a-t-elle écrit. Cette formulation brutale et quelque peu provocante peut faire froncer les sourcils, mais elle met l’accent sur un point important : La loi nigériane est très stricte en ce qui concerne les relations sexuelles anales.

Le message de Stella a suscité une vague de réactions, allant du soutien au choc et à l’incrédulité. Certains l’ont félicitée d’avoir fait la lumière sur une question juridique importante, tandis que d’autres ont été surpris par le caractère direct de son message. Indépendamment des réactions mitigées, une chose est claire : son message a déclenché une conversation sur les pratiques sexuelles et les limites juridiques au Nigeria.

L’article 214 du code pénal nigérian fait partie du cadre juridique du pays visant à réglementer les comportements sexuels. Il qualifie certains actes de « délits contre nature », y compris le s*xe anal, et prévoit des peines sévères pour les personnes reconnues coupables.

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