Abdou Mbow, 41 ans, 4e vice-président de l’Assemblée nationale et député, a été condamné à un an de prison ferme par le tribunal des flagrants délits de Pikine-Guédiawaye. La condamnation découle d’actes de violence effroyables perpétrés à l’encontre de ses propres enfants mineurs.
Les rapports révèlent une histoire poignante de violences physiques et psychologiques infligées par Mbow à ses enfants, y compris l’utilisation d’une barre de fer pour leur infliger des blessures. Ces actes brutaux ont légitimement abouti à une condamnation judiciaire, reflétant la gravité des délits commis.
Il est inquiétant de constater que, selon des sources locales, le comportement violent de Mbow ne s’est pas limité à ses enfants, mais s’est étendu à leur mère, l’obligeant à fuir le domicile familial par peur. Les répercussions des actes de Mbow ont été graves, les enfants ayant dû être hospitalisés à la suite des agressions.
D’énormes dégâts engendrés par le député
Les évaluations médicales soulignent encore la gravité des abus, la fille et le fils de Mbow ayant reçu des certificats médicaux indiquant une incapacité de travail temporaire de 45 jours. Ces documents témoignent du lourd tribut physique et psychologique infligé aux victimes.
Après son arrestation, Mbow a été jugé et reconnu coupable de coups et blessures, ce qui lui a valu une peine d’emprisonnement d’un an. En outre, le tribunal a ordonné à Mbow de dédommager les enfants et leur mère, reconnaissant ainsi le préjudice incommensurable subi.
Cette révélation choquante a eu des répercussions dans tout le Sénégal, suscitant une condamnation générale et des appels à la justice. Alors que la nation est aux prises avec les ramifications de cette affaire pénible, elle souligne l’impératif de sauvegarder les droits et le bien-être des personnes vulnérables, en particulier dans le cadre familial.
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