Une rumeur a circulé sur les réseaux sociaux, accusant Coca-Cola d’avoir licencié ses employés sans-papiers avant de les dénoncer aux autorités américaines, notamment après l’élection de Donald Trump. Cette information a été largement relayée, entraînant des appels au boycott, notamment dans des pays hors de la France. Certains ont même suggéré que l’entreprise s’était excusée auprès de la communauté latino-américaine pour apaiser la situation.
Cependant, Coca-Cola a rapidement démenti ces accusations, affirmant que l’histoire était totalement fausse. Aucune preuve publique ne corroborait cette accusation, notamment les licenciements massifs et expulsions, qui sont des informations publiques aux États-Unis. De plus, l’usine texane mentionnée dans la rumeur, nommée Cerberus, n’existe pas. Il semble que la polémique ait été alimentée par un malentendu : la communauté latino-américaine avait récemment interpellé plusieurs entreprises sur le manque de diversité dans leurs effectifs, ce qui aurait été mal interprété par certains, engendrant cette fausse information.
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